On a eu globalement deux années compliquées puisqu’il a fallu réaliser un travail plus important que par le passé pour obtenir un résultat à peu près égal voire moindre.
Aujourd’hui ce que je ressens, c’est que les gens ont d’autant plus de plaisir à participer à ces évènements qu’ils en ont été privés pendant une assez longue période, et il y beaucoup moins de « no show » qu’auparavant.
On était arrivé à un constat qu’on n’avait pas d’échanges directs avec la Fédération Française de Golf, sauf chacun de son côté, et qu’on n’avait pas d’organe représentatif de nos métiers.
Thomas insiste sur la valeur ajoutée des sociétés évènementielles dont les journées et initiatives contribuent grandement à la création de nouveaux golfeurs et favorisent le développement de la pratique.
On participe très clairement à la création de nouveaux golfeurs, en faisant notamment découvrir le golf lors de nos évènements (…)
Plus il y aura de golfeurs, plus on peut espérer organiser des évènements, mieux c’est pour les golfs, la FFGolf. On a tous à y gagner
Un épisode pour mieux connaître le métier de l’évènementiel. Bonne écoute !
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