A l’heure des médias sociaux incitant à toujours plus de visibilité, nombreux sont les clubs de golf qui tentent de se montrer, via Instagram et Facebook en tête. Mais, ils sont tout aussi nombreux à se retrouver pris par le temps que cela demande, un temps qu’ils n’arrivent pas à trouver facilement. Pourtant, certains évènements sont stratégiquement intéressants pour aider un golf à se faire voir et la Beachcomber Golf Cup en fait partie.
La Beachcomber Golf Cup, qu’est ce que c’est ?
En quelques mots, cette compétition inaugurée en 2018 est ouverte à tout amateur, hommes et femmes, sans limite d’index (les handicaps les plus élevés seront ramenés à 36 pour les femmes et 24 pour les hommes). A partir de cette année, chaque équipe peut être constituée soit de 2 joueurs, soit de 2 joueuses ou être mixte. La signature de la Beachcomber Golf Cup reposant sur sa formule greensome en Match Play sur 6 trous !
Les phases de qualification se déroulent au sein de 32 clubs volontaires sur la France. Chaque duo qui remporte son épreuve de qualification se rend à Paris début octobre pour la Finale sur le superbe golf de Saint-Germain. Les 32 finalistes s’affrontent alors sur la journée selon la même formule pour décrocher l’un des 4 tickets gagnants à la Grande Finale qui se déroule à l’Ile Maurice mi-novembre.
Évènement doublement intéressant !
Pour le club…
D’abord pour l’originalité de la Beachcomber Golf Cup. Au-delà du match play toujours riche en émotions et apprécié des compétiteurs, celui-ci atteint un degré d’intensité supplémentaire avec des rencontres sur 6 trous seulement.
Un aspect certes ludique pour les compétiteurs mais aussi pratique. La formule sur 6 trous offre aussi l’avantage d’un temps de jeu réduit qui peut permettre de toucher une nouvelle cible de joueurs que les 4 à 5 heures d’une compétition en stroke play peuvent réfréner.
Pour ce qui est de séduire les golfeurs et golfeuses à s’inscrire à une telle compétition, la perspective d’un séjour à l’Ile Maurice dans des conditions exceptionnelles est un argument plutôt convaincant, non ? Et s’il vous en fallait d’autres, n’hésitez pas à lire cet article. 😉
Côté organisation, c’est aussi une intéressante liberté offerte pour déterminer le vainqueur qui portera les couleurs du club en finale, voire plus ! Certains décident d’organiser une compétition sur la journée, d’autres préfèrent laisser les participants planifier leurs rencontres en fonction de leurs disponibilités respectives. Pour le format, des clubs font le choix de définir des poules de qualification alors que d’autres privilégient un tableau à élimination directe.
Autant de moyens à disposition pour créer facilement de l’animation dans votre golf pendant une bonne partie de la saison (le vainqueur devant être officiellement connu fin août) et fédérer sa communauté que représente – à minima – ses membres en créant un sentiment d’appartenance au club. Une incontestable plus value.
et son image
A cela, il faut ajouter un autre bénéfice de taille apporté par la Beachcomber Golf Cup : la couverture médiatique de l’évènement. Il y a d’abord les partenaires presse et internet qui assurent une couverture régulière de la compétition (Figaro Golf, Golf Magazine, Fairways, Swing Féminin).
La cerise sur le gâteau étant offerte par Golf + qui propose des sujets vidéos lors des finales, et comme si cela n’était pas encore assez, le vainqueur de la Grande Finale à l’Ile Maurice se voit remettre un trophée lors de la cérémonie annuelle des Trophées du Golf, elle aussi diffusée sur la chaine dédiée du groupe Canal.
A l’instar du Golf de Bordeaux Médoc ou du Golf du Prieuré, vainqueurs respectifs des éditions 2018 et 2019, l’impact est fort pour développer / capitaliser sur la notoriété de son golf, à même de valoriser ses membres et d’en attirer de nouveaux.
Alors certes, la dure loi du sport et de la petite balle blanche ne permet pas à tout le monde d’être élu mais les réseaux sociaux de la Beachcomber Golf Cup qui génèrent plus de 250.000 impressions cumulées sur Facebook, Twitter et Instagram assurent une visibilité dont on aurait tort de se priver. Et pourquoi pas, même dès cette année puisqu’il reste quelques places pour l’édition 2020.